Rendez-vous privilégié de la « Jet Society » au cours des années 30, cet hôtel de luxe attirait de nombreuses personnalités qui y recherchent le calme et le superbe golf de Valescure, Lord Mountbatten, le duc de Windsor, Léopold de Belgique, le Prince Bertil de Suède, le roi Umberto d’Italie, André Maurois, Léon Blum, Edouard Herriot, René Coty.
Richard Burton et Elisabeth Taylor ont séjourné à l’hôtel à l’occasion du tournage du film « Les Comédiens », dont une scène a été tournée à la Sainte-Baume.
Johny et Sylvie Vartan y ont séjournés à leur début dans le cadre d’une tournée régionale, ainsi que Carlos et Michel Sardou.
Tous sont passés à Valescure pour se ressourcer dans ce décor qui garde toujours ce charme unique d’une époque révolue.
Laurel et Hardy ont séjournés au Golf Hôtel en 1950 lors du tournage de leur dernier film ensemble, Atoll K de Léo Joannon, film en partie tourné au lac des dames. Pour l’anecdote, durant le tournage ils avaient tellement mangé de fruits de mer que le couple avait été intoxiqué et hospitalisé pour se faire soigner.
Résumé du film Atoll K (Source : les fiches du cinéma)
Laurel et Hardy héritent, en plus d’une fortune que le fisc et les hommes d’affaires se disputent, d’un yacht et d’une île. Accompagnés d’un apatride, Antoine, et de Giovanni, ils cherchent en vain leur île et voient un atoll surgir du Pacifique. L’apatride y met le pied le premier, de telle sorte qu’aucun Etat ne pourra le revendiquer. Ils sont rejoints bientôt par la chanteuse Chérie Lamour, abandonnée là par la jalousie. Des savants découvrent de l’uranium, et comme les habitants ont décrété la République sans impôt ni loi, c’est immédiatement une ruée d’aventuriers et bientôt l’anarchie. Les quatres hauts fonctionnaires édictent les décrets, mais sont renversés et condamnés à mort. Ils ont sauvés par Chérie Lamour. Et l’atoll disparaît comme il était venu, tandis que nos cinq héros sont recueillis par un navire.
Un monde préservé : La Résidence du Golf de Valescure
Vers les années 20, le siècle était encore jeune et la Côte d’Azur découvrait sa couleur. Le bleu. Bleu dur de l’éternel été. Turquoise délicat des vagues calmes. Bleuté altier des pins parasols.
En 1920, ce fut la naissance de l’hôtel du golf de Valescure. Belle demeure, comme on dit belle époque : un sens du cossu, du massif, de l’élégant.
Aujourd’hui, préservé, insolent, c’est un témoignage unique et vivant : la résidence du golf de Valescure, car cette résidence comme on en construirait plus de nos jours a été aménagée en petits appartements, dans un cadre de prestige. Un luxe que seuls pouvaient rêver et concevoir les lords anglais, princes russes et autres « Happy Few » qui inventèrent la Côte, quand elle ne s’appelait encore que la Riviera : hors du temps et protégée de son atteinte.
Luxe de l’espace : au milieu d’une pinède de 60 hectares, un parc privé de 4 hectares, jardin à l’Italienne où les fleurs odorantes dialoguent avec les palmiers, tandis que sur un vert gazon, l’azur d’une piscine chauffée répond à celui du ciel.
Espace dedans : derrière la belle façade « terre de Sienne », rien n’est compté, ni l’épaisseur des murs, ni la hauteur des plafonds. Charme de la toiture en tuile canal, des terrasses aux baies cintrées des ouvertures méditerranéennes. Toute l’année, une fraicheur, un équilibre qui corrigent le climat : l’été sait rester dehors et l’hiver être doux.
Luxe du cadre de vie : piscine, 8 tennis, un pas de tir à l’arc, un club house et un golf à trois pas de promenade, en toute saisons.
Dans son temps et sachant en prendre le meilleur. Dans l’air frais qui circule sur la colline, des petites surfaces ont été conçues pour y vivre bien toute l’année : 11 suites mezzanines, 11 suites jardins, 19 3-pièces, 38 2-pièces, 31 studios…tout cela aménagé avec un soin scrupuleux, tout cela a un prix étonnamment abordable pour aujourd’hui, et pour un achat qui dépasse le loisir de l’été. Parlons des charges : elles sauront être raisonnables, le club des sports n’étant pas supporté par la copropriété. Acheter ici, c’est investir dans le bonheur : un placement qui garde un bel avenir.
La Résidence domine la baie de Saint-Raphaël. Au Sud, à 6 km, les plages. A l’ouest, les Maures. A l’Est, l’Esterel et sur l’arrière, les Alpilles : tous les soirs le Pic de l’Ours et le Mont Vinaigre en technicolor. Saint-Tropez n’est qu’à 37 km et Sainte-Maxime à 23. La vie chaleureuse, marine, un peu snob et un peu folle, pour en prendre autant et aussi peu qu’on le souhaite. Elle est déjà dans la résidence, véritable club privé, elle est autour, proche sans indiscrétion. L’Autoroute du Soleil offre un accès par Fréjus, à moins de 10 km. Le train s’arrête à Saint-Raphaël. L’avion, lui, dessert Fréjus l’été, et Nice toute l’année (à 55 km d’autoroute). Que l’on vienne passer un week-end de printemps ou un bel été, le Train Bleu, l’avion ou votre berline vous mènent directement à votre paradis privé.
Le calme est là, préservé à jamais. La vie est proche. Que vous faut-il de plus ? Une visite. Pour découvrir la vue : la beauté est en plus.
(Source : Plaquette commerciale de la Résidence du Golf)